jeudi 21 février 2013

Chez Grenouille

Chez grenouille

Fin févier 2013. Je continue mon périple "bistrotier". Je suis tout seul. Je dois retrouver une copine pour un verre à Nation après le repas. Ma cible ce soir est CHEZ GRENOUILLE rue blanche dans le 9ème. C'est pile-poil entre Nation et l'Etoile sur la ligne 2.C'est à une encablure du moulin rouge. Je n'ai pas de réservation. On verra bien. J'arrive devant le lieu Que c’est petit ! on dirait les vieux bouchons de Lyon avec 20 couverts. Il est 20h30 c'est déjà plein.
Je pousse la porte et les serveuses, très charmantes, m'accueillent en me proposant une table au sous-sol. La salle y est plus vaste et la décoration très sympa. Entre cave moderne et une touche d'arrière boutique grande époque.  Une table en long et surélevée façon bar, accueille les potes ou les collègues en goguette. Une table pour deux (où je suis seul) d'autre en alignement, tout est déstructuré et tout s'accorde. Un poil bobo, mais le lieux me plaît.

La serveuse m'apporte la carte ... plastifiée !
Ah... ?!
Jetons un coup d’oeil (désolé la photo est floue)



A la carte
Riz de veau. Pas mal ! +12€ sur le menu !!! Gasp !

Grenouilles : Original pour Paris.
Andouillette
cochon, veau
blabla blabla

Volaille aux morilles ?!
hmm hmm



















Mon choix est fait.

1 personne
Entrée : Carpaccio de tête de veau
Plat : suprême de volaille à la crème de morilles au vin jaune du Jura.
Dessert : un café et l'addition SVP
prix : 47€ (vin compris)

L'entrée :
Suis tombé sur un soir "sans". Peut-être.
L'entrée était surprenante, mais pas renversante. Notons toutefois un travail de présentation et d'originalité.




Le plat :
Les patates campagnardes salées impeccablement, mais pas de croustillant. J'attendais un note de craquant dans ce plat.
Le suprême était servi "tiède-froid". Pour ne pas dire froid tout court.
Rien de spécial n'est ressorti. Le tout était bon, mais pas au niveau que j'espérais.
Par rapport aux restaurants de base, on est largement au dessus, mais bien en dessous d'un bistrot de chef.
La sauce et les morilles en lesquels j'avais placé tant d'espérance ne furent pas assez chaudes et rien n'en ressorti.

Là je me suis dit que l’absence d'ardoise ça se ressentait...




Le Dessert :
Le plat m'a laissé tellement sur ma faim que j'ai oublié de prendre un dessert.
Bref, un café et l'addition s'il vous plait.

Impression après repas :
Le lieu est propice à l'ouverture, pour un touriste étranger, à la cuisine française sans tomber dans les pièges de Montmartre. Proche du moulin rouge et à un prix abordable.
Voilà pour toi l'occasion, ami étranger, de gravir ta première étape dans le milieux des bistrots de Paris. L'accueil, la déco et la variété des plats vous ouvriront les portes vers d'autres lieux que vous pourrez trouver ici même. Entre autre.





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